La patience mise à rude épreuve

C'est fou, en devenant parents nous sommes constamment mis à l'épreuve
et ce dès l'annonce de la grossesse.

voici quelques exemples
Supporter les sautes d'humeurs extrême de la maman en devenir.
Pour la maman en devenir , il faut savoir résister à la montagne de biscuits aux chocolats qui nous implore de venir la dévorer cacher sous la table de la cuisine à 4 heures du matin.
Ensuite papa en devenir doit supporter et consoler maman en devenir qui se sent pris d'un sentiment de culpabilité après avoir mangé la boîte ( ok les deux boîtes) de biscuits.
Ensuite vers la fin de la grossesse la seule chose à laquelle nous pensons est: Si ce bébé pouvait sortir je n'en peux plus. (encore une fois la patience ici)
Qui ici n'a jamais essayé de faire un pacte avec son bébé in utéro.
-Bon bien c'est une belle journée aujourd'hui, j'ai bien dormi, allez bébé sort , je te promet que je serai la meilleure maman, allez si tu sort dans l'heure qui suit, je t'achète ce que tu veux à ton 3ième anniversaire.

Ensuite viens les nuits blanches
Encore une fois la patience, il faut garder tout notre sang froid pour réussir à ne pas lancer bébé par la première fenêtre ouverte.

Ensuite
l'autre étape majeure l'introduction des aliments
grrrr , c'est qu'on s'en fait cracher dessus de la nourriture.

Il y a la période des questions, notre patience et notre imagination sont mises à l'épreuve.

Et finalement il y a les matins d'enfants de 3 ans. Oui Oui oui
Veux pas ci, veux pas aller, pas m'habiller, veux faire tout seule, crie hurle pleure proteste.

Moi quand j'embarque dans la voiture les cheveux en bataille, la chemise hors du pantalon, les chausettes de différentes couleurs. Tout ça parce que j'ai passée la matinée à menacer, crier, a négocier. Hé bien une fois le petit à la garderie, le calin le bisou, le bonne journée, le je t'aime pour toute la nuit ( Félix il est prudent, il y va au jour le jour) je me dis ,que je ne changerais pas de place pour rien au monde.